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Action Développement Éducation International

L’association

ADEI, une action académique pour renforcer l’éducation technologique dans les pays émergents.
Elle s’inscrit dans les ODD (Objectifs de Développement Durable).

Notre histoire

Sa création a été impulsée par FTE (Fondation de l’Éducation Technique), une organisation philanthropique fondée en 2003
L’intention de nos membres fondateurs part d’un simple constat que lors de leurs nombreux voyages de découverte en Tanzanie, ce très beau pays est confronté à une importante pénurie de techniciens qualifiés.

Notre action

Forte de ses presque 15 ans d’expériences, ADEI a plus de 15 partenariats à son actif avec des centres de formation situés en Tanzanie, Rwanda, Ouganda et Burundi.

Francis Brochon

Ancien développeur principal du Minitel, Francis J. Brochon, qui a ensuite fondé la première société qui a transformé la télévision analogique en numérique, est passionné par le changement. Aujourd’hui, Francis se concentre sur le monde en développement. Il met à profit les enseignements qu’il a tirés de sa carrière dans la technologie, les affaires et les voyages pour contribuer à créer un changement positif par le biais de cette éducation technique. À l’ère de l’information, l’enseignement technique n’a jamais été aussi essentiel à un développement durable à long terme qui profite à tous. Dans son exposé, Francis explique comment il a créé la Foundation for Technical Education et comment cette organisation a un impact réel dans les pays en développement grâce à des modèles pédagogiques techniques innovants. Il nous fait part de ses réflexions sur les défis que nous devons relever et explique pourquoi il reste optimiste quant à l’avenir.

1er Président d’ADEI Jean-Pierre Acquadro

“J’ai commencé à être bénévole en 1992, le hasard m’ayant conduit sur les chemins de l’humanitaire. Je me suis beaucoup investi comme chef de projet dans de nombreux pays en Afrique et en Asie pour l’association médicale AMD. Mon engagement associatif a toujours été présent mais il a pris de l’ampleur à la retraite et m’a passionné par le travail sur le terrain tout en respectant toujours les valeurs et la culture du pays dans lequel nous intervenions.

En 2003, suite à un voyage entre amis en Tanzanie et sous l’impulsion de notre ami Francis Brochon, président de FTE, nous nous sommes investis dans un projet de création d’une structure de formation technique et professionnelle, aujourd’hui KIITEC, ayant pour but la mise à niveau de formateurs locaux, l’aide pour de jeunes défavorisés à apprendre un métier et à trouver un emploi ». A l’époque, nous étions tous issus du domaine technique ou de l’enseignement. Depuis lors, de par notre expérience acquise, nous avons créé l’association ADEI en 2003 dans le but d’en faire un opérateur de terrain spécialisé dans l’enseignement pour apporter à la fois un appui technique et stratégique dans les pays en voie de développements.

Denis Gruffaz, Bénévole d’ADEI

Ce qui m’a conduit à rejoindre ADEI ?

La réponse est à la fois simple et complexe…

Un peu de hasard, un zeste de chance, une pincée d‘envie de sortir des sentiers battus… et quelques grammes d’inconscience !

Mais ces quelques ingrédients ne peuvent se suffire à eux-mêmes. J’ajouterais volontiers la volonté de vouloir partager et faire partager les quelques modestes compétences qui sont les miennes dans l’enseignement technique, plus particulièrement en électrotechnique. Enseignant dans ce domaine depuis une vingtaine d’années, je pense pouvoir apporter une expérience professionnelle au service de l’association ADEI.

Engagé depuis mon adolescence dans le secteur associatif, je suis convaincu que l’humanité ne pourra progresser vers du « meilleur » qu’à travers la reconnaissance de la diversité des êtres humains qui la composent. Pour ce faire, nous avons des outils à notre disposition que sont les valeurs de tolérance, de respect mutuel, de partage… Il reste à parfaire leurs utilisations pour les mettre au service de l’évolution de l’humanité.

Alphonse Franco, Bénévole d’ADEI

Pour moi, le bénévolat c’est un peu le hasard mais finalement le hasard fait bien les choses.

Ma vie professionnelle s’est déroulée dans un laboratoire de recherche en automatique de l’ENSIEG (INP de Grenoble) ou j’ai travaillé en tant qu’ingénieur instrumentation CNRS, une partie de l’activité étant tournée vers les applications industrielles. En parallèle j’ai participé à l’enseignement tant à l’école qu’à l’IUT GEII.

C’est au moment de prendre ma retraite que Jean-Pierre Acquadro, collègue et ami de longue date, m’a proposé de rejoindre leur équipe de bénévoles qui travaillait à la création d’une école de formation technique en Tanzanie dans les domaines des PC et réseaux, des Télécommunications et de l’automatique industrielle.